Le projet SUSTLIVES avance bien grâce à l’effort conjoint du partenariat qui dans ces mois est en train de mettre en œuvre le programme d’activité de la première année du projet.
Plus récemment, une réunion de travail entre l’Agence Italienne pour la Coopération au Développement (AICS), CIHEAM Bari, Bioversity et l’Université Roma TRE s’est déroulée les 10 et 11 janvier ‘22, dans le campus du CIHEAM Bari (Italie) ayant l’objectif principal de discuter les résultats intermédiaires du processus en cours pour la sélection et la priorisation des cultures négligées ou sous-utilisées (NUS) au Burkina Faso et au Niger, ainsi que la méthodologie à mettre en œuvre dans les étapes suivantes.
Les discussions ont porté sur la présentation des zones d’études sélectionnées au Niger (région de Tillabéri et région de Dosso) et au Burkina Faso (région Centre-Ouest, région Centre-Sud et région Plateau-Central) par le groupe de recherche et les consultations avec les partenaires pour définir le processus de sélection des NUS.
Une première liste des NUS potentielles incluant les catégories botaniques des tubercules/racines, légumes et légumineuses a été mise à point par le groupe de recherche grâce à la consultation avec l’Université Joseph Ki-Zerbo (UJKZ) de Ouagadougou, l’Université Abdou Moumoni (UAM) de Niamey, Bioversity et les autres parties prenantes consultées par le siège de l’AICS Ouagadougou et le CIHEAM Bari.
Il a été décidé que Bioversity, responsable de l’activité 1.1 du projet (Identification des zones cibles et des NUS tolérantes au stress), mènera durant les mois de janvier et février un sondage adressé aux experts ainsi que des consultations avec les parties prenantes locales dont les résultats seront validés au cours de deux ateliers avec les acteurs locaux dans les pays concernés.
La réunion a aussi été l’occasion pour faire le point sur l’offre de formation et l’approche pédagogique que l’Université Roma TRE est en train de définir en coopération avec UJKZ, UAM ainsi que le partenariat du projet et dont bénéficieront des représentants de la société civile (ONG, groupes de femmes/jeunes, groupes d’intérêt), étudiants universitaires, jeunes entrepreneurs, agriculteurs, et d’autres acteurs des chaînes de valeur des NUS au Burkina Faso et au Niger.

Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes.
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